Olivier Bailly, Madeleine Guyot, Almos Mihaly et Ahmed Ouamara - Samarcande

Grandir à Bruxelles ouvre-t-il l’esprit ? Comment le foisonnement de nationalités, la pléthore d’offres sociales et culturelles sont-ils utilisés par les jeunes Bruxellois ? Comment s’approprient-ils l’espace urbain ?

Ces interrogations sociologiques ont rassemblé différents acteurs associatifs et académiques (SOS Jeunes – Quartier Libre, Samarcande, IEB, et Julie Cailliez (ULB)) autour d’une recherche-action sur la mobilité des jeunes à Bruxelles en fonction de leurs origines géographiques. Dix jeunes d’Anderlecht, dix d’Etterbeek, dix de Woluwe ont répondu individuellement à nos questions.

Il s’agissait de confronter nos impressions d’un Bruxelles dual aux réalités des adolescents. Pour les faire parler de leur utilisation de la ville, nous avons utilisé la technique de « cartes mentales » qui consiste à faire dessiner sur du papier blanc, à main levée et sans aucune aide extérieure, les lieux fréquentés ou censés être connus par un individu. Dans le cadre de cette recherche, la méthodologie mise en œuvre s’est appuyée sur la combinaison d’entretiens semi-directifs menés auprès d’une trentaine de jeunes issus de milieux différents et sur la réalisation de cartes mentales par ces mêmes jeunes.

  • A l’écoute du sentiment d’insécurité – Rapport général sur le sentiment d’insécurité
  • Administration communale d’Anderlecht – Rapport sur les affaire de la commune : 2008-2009
  • Alarm – Arme Molenbeekenaars nemen het woord in de strijd voor het recht op wonen
  • Alarm – Un groupe d’habitants se mobilise pour le droit au logement
  • Analyse dynamique des quartiers en difficulté dans les régions urbaines belges