Chaque jour, nous nous alimentons. Nous faisons nos courses, le plus souvent au supermarché. Et nous achetons des produits frais, car c’est meilleur et accessible. De plus en plus de citoyens en oublient les saisons, trouvant logique d’acheter des kiwis de Nouvelle-Zélande en été, des fraises d’Israël, des cerises
d’Argentine ou encore des myrtilles du Chili à Noël, le tout transporté par avion. Pire encore, en mai, fais ce qu’il te plait, mais il faut savoir que les pommes de terre viennent alors d’Israël et les oignons de Tasmanie ou du Brésil. Tous ces transports de produits alimentaires frais, qui ont parfois fait le tour du monde, ont un coût environnemental important lié notamment aux émissions de gaz à effet de serre qui, jamais, ne sont internalisés dans le prix final du fruit ou du légume.

Pierre Ozer (climatologue, Docteur en Sciences géographiques de l’Université de Liège) fera le point avec nous sur nos habitudes alimentaires et l’impact de ces dernières sur notre environnement.

Conférence-débat organisée en collaboration avec Nature et Progrès Bruxelles.

Inscription souhaitée.

  • Un potager écologique sur mon balcon
  • Volontariat : l’assurance gratuite